dimanche 12 octobre 2014

Mardi 8 septembre 2009 : Queyrières – Saint-Germain-Laprade.

La vue est splendide sur le village de Queyrières, adossé à un rocher d’orgues basaltiques.


Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent…dans les prairies au pied des dômes du Meygal.
Ces dômes sont constitués de trachyte, d’andésite et de phonolithe, une lave claire qui se débite facilement en feuilles pour la fabrication de lauzes.


Le sentier descend sur Monedeyres. Ce beau village de pierres volcaniques possède une église non consacrée construite par ses habitants. A ses côtés, la maison de la Béate. Son histoire a été reprise par Jules Romains dans « Cromedeyre-le-Vieil ».




A hauteur de la Combe Noire, les deux GR remontent sur les plateaux, cheminent de hameaux en hameaux sur des sentiers et petites routes. Ils franchissent le ruisseau de Neyzac où l’on observe des moulins à toit en chaume.
Un long chemin qui longe un ruisseau me mène à Saint-Julien-Chapteuil, ville natale de Jules Romains. Je traverse la ville pour retrouver Viviane devant la mairie. Nous mangeons en terrasse d’un restaurant sur une place.

Viviane m’aide à sortir de la ville en voiture, car le trajet pendant plus d’un kilomètre sur une route fréquentée est assez dangereux.
L’itinéraire s’abaisse jusque sur les bords de la Sumène enjambée par une passerelle ; il atteint Eynac, au pied d’un superbe rocher d’orgues basaltiques, et franchit à nouveau la Sumène.


Après Tournecol, il descend vers le bassin de la Loire. Surtout sur route, et en pleine chaleur, le parcours est assez inintéressant, d’autant plus que des travaux routiers compliquent le passage. C’est ainsi que j’arrive à Saint-Germain-Laprade. Je visite la belle église, avec un chœur du Xe siècle, un des plus anciens de la région.

Retour au petit camping de St-Julien-Chapteuil à 16h15.

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